par Isobel Gibson, stagiaire diplômée, spécialiste de l’environnement
Je travaille actuellement à Burgess Hill au sein de l’équipe chargée de la sécurité, de la santé et de l’environnement. Je suis spécialiste de l’environnement.
Pourriez-vous nous décrire votre mission actuelle ?
Jusqu’à présent, je m’intéresse principalement à l’adoption de sources d’énergie entièrement renouvelables au sein de Vacuum Technique. Nous y sommes déjà parvenus sur quasiment tous nos sites américains/européens. Il reste un site à améliorer Pour Edwards, cela comprend les sites de Brno, de Lutin, de Clevedon, d’Eastbourne, de Burgess Hill et de Niagara. Ma prochaine mission aura lieu à Cologne, l’un de nos plus grands sites. Je tâcherai d’en améliorer l’empreinte écologique en me concentrant sur la gestion des déchets, de l’eau et de l’énergie.
Qu’est-ce qui vous a incitée à travailler chez Edwards ?
Travailler pour Edwards s’accompagne de nombreuses opportunités de développement. Faire partie du groupe Atlas Copco offre ainsi un large éventail de détachements et de projets possibles au sein de l’entité Vacuum Technique dans le monde entier. En tant que spécialiste de l’environnement, j’ai également été séduite par l’engagement de l’entreprise et du Groupe en faveur d’une productivité durable et d’une réduction de notre empreinte écologique.
Où espérez-vous vous trouver dans 10 ans ?
J’espère poursuivre mon travail actuel dans le domaine de l’environnement, en y intégrant éventuellement d’autres aspects de la durabilité. Si j’en ai l’occasion, j’aimerais continuer à travailler pour Atlas Copco car, jusqu’à présent, tout se passe parfaitement avec cette organisation. De plus, je me réjouis des possibilités de formation continue et de développement personnel, ainsi que de l’engagement de la direction en faveur de la durabilité.
Lorsque vous envisagez l’avenir, quels sont, d’après vous, les principaux enjeux qui nous attendent ?
Les défis environnementaux qui se posent aujourd’hui et se poseront encore à l’avenir sont vraiment d’actualité. Tout le monde connaît les dangers du changement climatique, mais nous ne réagissons pas assez vite. Je pense que le principal enjeu est de parvenir à convaincre les gens de changer leurs habitudes afin d’assurer l’avenir de notre monde. Car le réchauffement climatique n’est pas qu’une question de températures : il s’agit également de pertes de terrains et d’infrastructures, de destruction de récoltes, de disparition d’espèces et d’augmentation de la pauvreté.
Selon vous, quelles technologies faudrait-il utiliser/inventer pour relever ces défis ?
Une technologie d’identification et de réduction de la pollution pourrait contribuer à la diminution de notre empreinte écologique. En réduisant la quantité de nos émissions (de CO2, par exemple), nous pouvons avoir une influence sur l’augmentation de la température mondiale. Ainsi, les progrès accomplis dans le domaine des véhicules électriques, des énergies renouvelables et des modèles de production/consommation nous permettent de trouver des solutions au changement climatique.